Ma salive est amer de rancoeur et les mots se précipitent dans ma bouche. Fugace est son souvenir dans mon âme, je l'ai crû. Mon amie si doué et si forte, si modeste et si compréhensible à côté de moi, rongé par mes défauts et mon ardeur. Elle comprenait et transquivais tous si bien, ses mots acidulées était si beau et si remplit de sens. Comme des friandises piquantes et fondant dans ma gorge avide. Mais elle ,si bien entouré, racontait tous ces malheurs déchirant, vous savez, ces tristesse pure et modeste qui gratte de leurs pointes nos coeurs palpitants. Ah, mon amie qui m'était si chère ... Comme je vais la haïr, enfin, c'est le soulagement. Ma salive est amerement injuste, je suis un monstre d'en vouloir à cette ange banal, à cette être commun que tous le monde admire. Je suis injuste et fatigué. Tu verra mon ange, notre amitié se fânnera en même temps que tes belles roses chargés d'épines.
Reeker déhanbulait sous le zénith déclinant. Belle calvade sans retour.