C'est la vie ( celui ou celle qui veut )

Promis....
Promis...
Elle lui avait promis, il lui avait promis...
Ils s'étaient promis...
Mais ils étés ont séparés...
Il ne l'a pas retrouvée.
Elle reviendra peut-être, ou peut être pas.
Bohemian marchait sur cette terre où les saillies avaient lieu.
Mais il ne pensait pas à cela pour l'instant.
Il était perdu dans ses pensées.
Personne ne sait lesqueslles, mais il en a beaucoup.
Malgrès ses blessures ( mentales ), il n'a pas eu d'épaule sur qui s'appuyer.
Il n'en a jamais eu, et n'en aura jamais, il le sait...

Kenta amrchait faiblment ici. Elle repensait à tous ces bonheurs, toutes ses joies, mes ses pensées noires, lui glaçant le sang, la réveillèrent. Elle regarda autour d'elle, paniquée. Et a sa grande surprise, elle vit un cehval, l'air abattu, qui trainait. Elle, avec son coeur de gentille juemnt, s'approcha en douceur.

-Hum...ça va ?

En entendant ces paroles, il s'arrêta.
Il leva les yeux et la regarda.
Puis il reporta son attention par terre et reprit sa marche, sans répondre à la jument.
Il avançait pas par pas, regardant où il mettait ses sabots, comme si sa vie en dépendait.
" Il faut que je marche...."

Kenta marcha donc à ses côtés. Elle hésita à reposer la question, mais son attitude prouvait largement que non. Elle veilla donc sur lui, qui partait dans je-ne-sais quelle direction. Quleques longues minutes s'écoulèrent...

-Qu'est ce qu'il y a ?dit-elle d'un ton amicale et compatissant.

Il regarda droit devant lui, visant l'horizon.
Cette fois, il répondit à la jument.
" Cela ne te regarde pas. Et même, tu ne pourrais pas me comprendre..."

Kenta eut mal au coeur d'entendre cela. Ses chaleurs la repprochait désagréablement. Male à l'aise. Mais ce n'était pas spécialement pour cette raison qu'elle venait. Bien au contraire. Il avait un regard profondément malheureux.

-Bien. Ne dis rien. Continue.Elle resta calme et conserva une grande souplesse de paroles.

Il s'arrêta et la fixa droit dans les yeux.
Il lâcha en un soupir :

" Continuer quoi ? De marcher ? "

Il resta sur place, ses quatres sabots bien plantés.

-Non, pas du tout, enfin, si tu veux. Continue ce que tu veux. Et continue ta vie. Et continue de penser. Et continue tout ce qu'il te chante. Je ne reste pas à côté de toi pour t'embêter, mais pour te raisonner .

Elle regarda ce cheval dans les yeux. Il avait un regard tendre, qui cachait beaucoup de choses. D'un côté, cela lui rappelait quelqu'un la première fois qu'elle l'avait rencontrée. Mais qui ? Bref, revenons en à nos moutons. Pourquoi agissait-il ainsi ? Elle re le lacherait pas tant qu'il ne serait pas de bon humeur.